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Protection des données – RGPD, DLP et sécurité de l’information
La protection des données est devenue un enjeu majeur pour toutes les organisations. Face à l’augmentation des ransomwares, aux risques de fuite accidentelle ou malveillante et aux obligations réglementaires comme le RGPD et la directive NIS2, il est indispensable de mettre en place des dispositifs robustes. Cela inclut le chiffrement, la sauvegarde, la prévention des fuites (DLP) et une gouvernance claire pour assurer la confidentialité, l’intégrité et la disponibilité de vos informations critiques.

145 clients nous font confiance
Nos expertises en protection des données
Chiffrement des données sensibles
Nous appliquons des mécanismes de chiffrement avancés (AES-256, TLS, BYOK/CMK) pour protéger vos données au repos, en transit et dans le cloud. Même en cas de vol ou d’interception, les informations restent totalement inexploitables pour un attaquant.
Sauvegardes et reprise d’activité (PRA/PCA)
Une cyberattaque ou une panne matérielle peut paralyser votre entreprise. Nous déployons des systèmes de sauvegarde automatisés, multi-sites et testés régulièrement, associés à des plans de reprise et de continuité d’activité (PRA/PCA) pour redémarrer rapidement vos services.
Classification et gouvernance des données
Toutes les données n’ont pas la même valeur. Nous vous accompagnons dans la mise en place d’une gouvernance de l’information claire : catégorisation, règles de conservation, gestion des accès et cycle de vie des données.
DLP – Data Loss Prevention
Les solutions de Data Loss Prevention surveillent vos flux internes et externes pour détecter et bloquer les tentatives de fuite : emails, clés USB, impression non autorisée, partage cloud non validé. Le DLP est un allié essentiel contre les erreurs humaines et les menaces internes.

Nos compétences avec
Protection des données
FAQ
Quelles données doivent être protégées en priorité ?
Les données personnelles (clients, salariés), financières, stratégiques et de propriété intellectuelle. Ce sont les plus sensibles et les plus ciblées par les cyberattaques, et elles font l’objet d’exigences légales strictes comme le RGPD.
Qu’est-ce que le DLP (Data Loss Prevention) ?
Le DLP est une technologie qui empêche les données sensibles de quitter votre organisation sans contrôle. Il bloque par exemple l’envoi d’informations critiques par email, l’impression non autorisée ou la copie sur clé USB. C’est un outil clé pour éviter les erreurs humaines et les fuites malveillantes.
Quelle différence entre sauvegarde et PRA/PCA ?
Une sauvegarde consiste à copier vos fichiers ou bases de données pour pouvoir les restaurer en cas de perte ou de corruption. Elle est indispensable mais ne garantit pas la continuité de l’activité.
Le PRA (Plan de Reprise d’Activité) va plus loin : il prévoit la remise en service des systèmes critiques après un incident majeur (cyberattaque, sinistre, panne). L’objectif est de reprendre l’activité dans un délai défini (ex. 24 ou 48h).
Le PCA (Plan de Continuité d’Activité) est encore plus exigeant : il vise à maintenir l’activité sans interruption, même en cas de crise. Concrètement, cela implique la mise en place d’infrastructures redondantes ou de systèmes de bascule automatique (failover).
Comment éviter une fuite causée par mes collaborateurs ?
La majorité des fuites de données ne sont pas dues à des cybercriminels, mais à des erreurs humaines (pièce jointe envoyée au mauvais destinataire, fichier partagé publiquement par erreur, clé USB perdue). La première étape pour éviter ces incidents est donc la sensibilisation des employés : former vos équipes aux bonnes pratiques (gestion des mots de passe, vigilance face au phishing, usage sécurisé des outils collaboratifs) réduit considérablement les risques.
Ensuite, la mise en place de solutions techniques comme le DLP (Data Loss Prevention) est indispensable. Ces outils surveillent en temps réel les flux de données (emails, téléchargements, impressions, transferts USB) et bloquent automatiquement les tentatives de fuite accidentelle ou volontaire. Ils permettent par exemple d’empêcher l’envoi de données sensibles en dehors de l’entreprise sans autorisation.
Il est également crucial d’appliquer le principe du moindre privilège via des solutions IAM : chaque collaborateur ne doit accéder qu’aux données dont il a réellement besoin pour son travail. En limitant les droits excessifs, vous réduisez mécaniquement le risque de fuite.
Enfin, une politique de gouvernance claire (classification des données, procédures de partage, traçabilité des accès) permet de responsabiliser les équipes et de prouver la conformité en cas d’audit.
Les données stockées dans le cloud sont-elles protégées par défaut ?
Non, les données stockées dans le cloud ne sont pas protégées par défaut. Les fournisseurs cloud (Microsoft 365, Google Workspace, etc.) appliquent un modèle de responsabilité partagée : ils sécurisent l’infrastructure (datacenters, disponibilité des services), mais la protection des données vous incombe.
Il faut aussi distinguer deux notions souvent confondues :
- La rétention : les solutions cloud conservent vos fichiers et emails pendant une durée limitée (ex. 30 ou 90 jours après suppression). Cela permet de récupérer une donnée supprimée par erreur, mais ce n’est pas une vraie protection. Une fois la période expirée, la donnée est définitivement perdue.
- La sauvegarde : elle consiste à créer une copie indépendante et sécurisée de vos données, stockée sur un autre support ou environnement. Contrairement à la rétention, une sauvegarde peut être restaurée même plusieurs mois ou années après la perte ou la corruption des fichiers.
En cas d’attaque par ransomware, de suppression malveillante ou d’erreur humaine, seule une sauvegarde cloud dédiée (complémentaire à la rétention native) vous garantit de pouvoir récupérer vos informations et assurer la continuité de vos activités.